"Parcours Croisés" - Suite - Chapitre 43
Parcours croisés Lundi
Chapitre 43
Alain
Jai vaguement entendu leau de la douche couler mais jai préféré rester au lit et finalement elles étaient parties toutes les deux quand je me suis levé. Sur la table de la terrasse, à côté du thermos de café, deux tartines beurrées et tartinées de confiture mattendaient sous une cloche en verre, sans doute pour les protéger des guêpes, et coinçant une petite feuille de papier : « Travaille bien mon chéri, à ce soir » et une deuxième écriture « Bon appétit, prends des forces, jarrive ! ».
Je sortais de la douche quand jai aperçu Annie sur la pelouse, la pointe dun pied calée en lair contre le tronc de lérable, jambe tendue, et se plaquant vers le tronc quelle entourait de ses bras, étirant ses muscles comme on soigne un début de crampe. Un massage
je vais moccuper delle
Tina adore ça, elle aimera aussi !
Elle a aimé ! Je nai pas pu mempêcher ! Son corps nu sous mes mains, comment résister ! Son corps fin, dapparence fragile, ondulait ; son bassin se soulevait, ses reins se cambraient ; en massant ses cuisses à deux mains, jai un peu, juste un peu, glissé
trop haut ? Non ! Juste assez haut pour effleurer des chairs douces
et moites, accueillantes, gourmandes, que jai vues brillantes de désir quand lentement elle a ouvert le passage à mes doigts curieux, appelant mes caresses. Comment résister à de si jolies fesses qui montaient au-devant de ma main ?
Agenouillé dans son dos, je lai vue jouir tout autant que je lai sentie se liquéfier sous mes doigts, petites palpitations, contractions du périnée, crispation de sa nuque, de ses poings sur le drap de bains
elle est belle !
Elle a pris en note une liste de courses à faire, au téléphone avec Tina, plaisantant et me provoquant quand elle me la passée. Et puis le jeu
jeu de bagarre
jeu damour et de sexe volé
fantasme de viol, Annie ? Non
jeu dadolescents
bien sûr je lai rattrapée ! Sinon, elle aurait été déçue
et bien sûr je lai soumise sous mon poids, et e ? bien sûr que non ! Jai seulement répondu à son attente ! Et ses envies allaient plus loin que les miennes
et cétait bien, tellement bien !
Elle mavait dit ne pas avoir besoin de moi, mais jétais curieux, et puis jai trouvé une excuse : laccompagner au supermarché pour faire les courses.
- Tu le connais ?
- Cest un de mes locataires
et son frère travaille dans la banque où jai mes comptes !
- Je comprends mieux ! Moi, il naurait jamais pris un de mes chèques
et entre nous il aurait eu raison !
- Ah ! Ça doit être celle-là !
La porte coulissante du garage venait de souvrir et le vendeur garait une voiture devant les portes automatiques par où nous étions rentrés :
- Eh ! Belle voiture ! Tu vas frimer avec ça !
- Cest vrai ? Taime bien ?
- Regarde toi-même !
- Oh, tu sais, moi, du moment quelle ne tombe pas en panne !
On a rejoint le vendeur et Annie sest installée au volant de son tout nouveau Rave4 noir, intérieur cuir beige, magnifique, et le vendeur lui a expliqué lemplacement des diverses commandes, se penchant dans lhabitacle pour lui montrer
et sans doute pour profiter de la vue sur ses jambes haut découvertes par sa petite jupe noire. Annie nétait pas dupe et ma fait un clin dil. Je suis allé masseoir sur le siège passager :
- Tu ne savais vraiment pas ce que tu allais acheter ?
- Non
Jérôme ma dit « elle tira bien », cest tout !
Le dénommé Jérôme avait lair content de lui et riait :
- Elle ma dit « neuve, automatique, et de la place pour transporter des bacs de fleurs », ça correspond, non ?
- On dirait
jolie voiture en tout cas !
- Votre Golf
vous ne voulez pas la changer ?
- Non merci !
- Dommage ! Passez nous voir, quand vous y penserez ! Annie, je vous laisse, à bientôt ! Et ne vous inquiétez pas, vous naurez aucun problème ! Au revoir !
Pendant quelques minutes, elle a tout essayé : essuie-glaces, klaxon, phares, marche arrière, clignotants, lave-glace, warning, radio
comme une gosse qui teste un nouveau jouet
- Je dis que men fous, mais
elle est pas mal, non ?
Et elle avait vraiment le sourire dune gamine qui a un nouveau jouet
Au supermarché, elle dansait dans les rayons.
- Moi ce n'est pas la peine, je n'en mets presque jamais !
La dame dun couple, un peu plus loin, la quarantaine, cest retournée lair offusqué. Son mari rigolait.
- A ce compte-là, tu peux aussi reposer les strings et les culottes, ten mets pas non plus très souvent !
La dame a pris son caddy pour séloigner dun pas nerveux, puis a fait demi-tour pour tirer son mari par le bras qui nous regardait en riant de bon cur.
- Bonjour Monsieur !
Je me suis retourné
personne ! Annie, de lindex, ma fait signe de baisser les yeux. Une jeune fille accroupie devant le rayon levait la tête vers moi :
- Eh, Msieur, vous lavez scotchée, la dame !
- Oh, bonjour Nathalie ! Tes pas en cours, toi ?
- La prof de français n'est pas là ! A demain, Msieur !
- Au revoir !
Elle est partie à reculons, regardant tantôt Annie, tantôt moi :
- Cest qui ?
- Une de mes élèves ! Demain toute la classe saura que jachète des strings avec une jolie femme qui ne met pas de culotte !
- Oh
tes embêté ?
- Non, flatté ! Je me construis une réputation ! Tes trucs, là, tu les essaies ?
- Bien sûr ! Tu viens ?
Elle a patienté devant les cabines dessayage où une employée lui avait donné quatre jetons correspondant aux 2 pantalons, à la jupe et au petit haut quelle voulait essayer, pendant que je gardais le caddy devant le petit comptoir qui séparait les rayons des cabines dessayage. Dès quune cabine sest libérée, elle ma fait un petit signe en lançant :
- Tu me donneras ton avis ?
Quelques minutes plus tard, elle en est ressortie, pieds nus, avec un pantalon de zouave taille basse serré aux mollets et dont le fond descendait aux genoux. En soulevant son chemisier au dessus du nombril, elle sest regardée un instant dans la grande glace au fond du couloir séparant les cabines, puis sest retournée vers moi, minterrogeant du regard.
- Taimes bien ?
-
ouais !
Lemployée sest tournée vers moi quand Annie est repartie en cabine :
- Ça lui va bien !
- Beaucoup de choses lui vont bien !
Elle sest retournée vers les cabines et a constaté en même temps que moi que le miroir nous renvoyait limage dAnnie en train de se changer, le rideau de sa cabine nétant quà demi fermé. Ses fesses bronzées coupées du mince fil blanc de son string qui sévasait en triangle sur ses reins étaient du plus bel effet. Un temps, comme lemployée, jai cru à une inattention de sa part ; un temps seulement ; elle prenait des pauses, arrangeait son string, levait devant elle le top rouge quelle allait essayer, enlevait sa blouse, tortillait ses fesses. Impossible que ce rideau plus quentrouvert ne soit pas volontaire. Lemployée ma jeté un regard rapide et en baissant la tête vers quelques cintres quelle faisait semblant de trier, a repris lobservation du miroir.
Les quatre essayages lui ont pris une dizaine de minutes. A chaque fois, le rideau restait suffisamment ouvert pour que personne ne perde de vue le spectacle quelle offrait. Derrière moi, dans lallée, le nombre de personnes qui stationnaient et bouchaient le passage avec leurs caddies augmentait régulièrement. Une fois, lemployée, petit sourire aux lèvres, ma montré du menton le début dembouteillage, mais elle sest bien gardée de quelques commentaires à Annie lorsquelle sortait de la cabine, et ne sest pas déplacée pour fermer mieux le rideau. Elle aussi, ça lamusait, et à lévidence, elle aussi avait compris quAnnie faisait exprès.
Un monsieur, le teint vraiment très rouge, est sorti de la cabine faisant face à celle dAnnie, nosant regarder personne.
Une petite fille dans mon dos a dit à sa mère :
- Tu vois, maman, cest une culotte comme ça que je voudrais !
Une dame est venue chercher son mari :
- Bon, tas fini, oui ? On a autre chose à faire ! Viens !
et puis elle nous a offert dans le miroir ses petits seins bruns, tout fiers dressés pendant quelle remettait son string en place, deux doigts glissés sous les coutures des jambes, avant denfin se rhabiller et de sortir, souriante, visiblement contente delle, ses articles sur le bras :
- Ça va ? Je n'ai pas été trop longue ?
Lemployée, une dame dune quarantaine dannée, a éclaté de rire et sest penchée vers Annie :
- Je crois que quelques-uns regrettent même que ce soit déjà fini !
- Oh ? Pourquoi ?
Et elle aussi riait :
- Dites-leur que je reviendrai !
- Vous prenez tout, madame ?
- Oui ! Tout !
au revoir !
Jai attendu quon se soit un peu éloignés :
- Martine ma raconté votre séance dessayage de samedi, je te suis reconnaissant dêtre restée plus soft ! Mais ça a bien plu ; tu as créé un embouteillage devant les cabines !
- Vrai ? Cétait bien ?
- Parfait Annie
tu fais ça souvent ? Et tas jamais dennuis ?
- Pas souvent
et puis tétait là
- Ne tétonne pas dun regard égrillard de quelques-uns que tu vas croiser en finissant les courses!
- Si on magresse, tu me défendras ?
Quand on est rentrés de courses, à presque cinq heures, Tina était déjà là, sur la terrasse, en train détendre le linge fragile quAnnie avait mis en machine avant quon ne parte :
- Salut toi, bonne journée ?
- Calme, je suis restée au bureau toute la journée avec Véro.
- Elle va bien ?
- Elle va très bien
et Jérémy est ravi quelle reste ce soir
- Oh oh ! Un ptit couple se forme ?
- Je ne sais pas
mais ils se font pleins de sourires, ils se caressent les doigts
et elle est chez lui en ce moment. On se suivait sur la route
Viens-là, toi !
Tina a pris Annie par lépaule :
- Alors comme ça tas testé les massages ?
- Ouais
et cest super !
- Je sais
ça fait longtemps, chéri, que tu ne mas pas massée
- Mets-toi au jogging !
- Euuuh
on ne peut pas passer directement au massage ? Sans prétexte?
- On pourrait, mais cest mieux avec
- Au fait ! Tas ta voiture ?
- Oui, ça y est ! Je range les courses et on va la voir !
En allant voir la voiture garée devant chez eux, au bord de la route, Tina a raconté ses retrouvailles avec Véro le matin dans la réserve, Annie sa rencontre avec beau-brun, et en multipliant les détails, jai raconté la séance dessayage au supermarché.
Annie est partie se changer dans la chambre pendant que Tina prenait une douche. Quant à moi, je me suis enfin mis au travail pour préparer mes 4 heures de cours du lendemain, installé sur la table ronde du séjour avec mon ordinateur portable.
Elles discutaient dans la cuisine en préparant le repas, me caressaient doucement le bras en revenant dinstaller le couvert sur la terrasse.
La soirée, calme, ressemblait à tant dautres, soirée de retour au quotidien
Annie en plus
et sa présence faisait une sacrée différence, le quotidien prenait une autre couleur, de volupté, de gaieté, de complicité.
- Tu rêves ou tu réfléchis ?
Tina regardait par-dessus mon épaule, les bras passés autour de mon cou.
- Je crois bien que je rêvais, quune jolie femme passait ses bras frais autour de mon cou, quelle sentait bon, quune autre jolie femme sasseyait sur mes genoux
Annie venait de nous rejoindre, repoussant mon portable :
- On ne te dérange pas, au moins ?
- Penses-tu !
- On mange dans une demi-heure, ça te va ?
- Parfait ! Allez, ouste ! Laissez-moi travailler !
Elles se sont installées sur la terrasse en attendant que le repas soit prêt, jai travaillé, très peu
repiquant des cours de lan dernier.
Jai entendu la sonnerie du programmateur du four. Les filles riaient sur la terrasse et aucune des deux na réagi :
- Eh ! Ça sonne ! Cest cuit !
Aucune réaction. Jai fermé mes fichiers et suis allé les retrouver sur la terrasse. Toutes les deux étaient penchées, coude à coude, les assiettes repoussées en bout de table :
- Ça a sonné ! je sais pas ce que vous avez préparé, mais cest cuit !
- Tu veux bien ten occuper ? Cest un poulet ! Tu le coupes ?
- Quest-ce que vous faites ?
Je me suis approché dans leur dos pour regarder ce qui semblait tellement les intéresser :
- Cest quoi ?
- Une bande dessinée que Christophe a offerte à Tina
on révise pour ce soir
Quand je me suis penché pour regarder par-dessus leurs épaules, Tina a tiré un torchon sur le livre pour me cacher les images :
- Cest une surprise ! Ne regarde pas ! Va couper le poulet, chéri
- Ouais ! je crains le pire !
- Ça te plaira
promis !
Après le repas, jai imprimé les fiches de cours que javais triées et dont je ferai des photocopies pour mes classes de demain en arrivant au lycée. Tina et Annie discutaient tranquillement dans le canapé, un CD de Dire Straits en sourdine. Vers 9h30, elles se sont levées toutes les deux :
- Tu en as pour longtemps ?
-
petit quart dheure
- Ok, on tappellera !
Petit sourire entendu de Tina
. Je ne sais pas ce quelles mijotent depuis la fin de soirée, mais ça ne me dit rien qui vaille !
- Tu viens chéri ?
Tina mattend dans le couloir, enveloppée dans un paréo pour une fois très pudiquement refermé, et mentraîne dans la salle de bains :
- Déshabille-toi, on te veut nu !
- Vous préparez quoi, au juste ?
- Ne soit pas curieux, tu verras bien ! Enfin, pas tout de suite !
Elle a noué un foulard noir sur mes yeux et ma pris par la main. Elle ma conduit par la main et jai reconnu quelle mentraînait vers la chambre damis où elle ma fait asseoir au pied du lit ; puis après quelques instants et quelques murmures, des mains sous mes bras mont invité à reculer vers la tête du lit et à mallonger. Jai senti le matelas se déformer de chaque côté de mes hanches, deux jambes se glisser sous mes bras le long de mon torse. En levant mes mains, jai touché des hanches, reconnaissant sous mes doigts les formes de Tina, que jai devinée agenouillée au-dessus de moi et me tournant le dos ; ses genoux se sont resserrés autour de moi, à hauteur de ma taille. Elle a soulevé mes jambes, ses coudes entre mes jambes au pli des genoux et a un peu reculé, mes jambes largement soulevées à tel point que mes fesses ne touchaient plus le matelas. Jai senti deux mains sur mes fesses ; Annie, bien sûr ; et une sensation de frais, entre mes fesses, sur mon anus, puis remontant jusque sous mes testicules quelle a soulevées dune main ; elle devait étaler une crème quelconque. Elle a serré ses doigts en anneau autour du scrotum, sous la base du sexe, repoussant mes testicules très bas, et les a tirées vers elle. Dautres mains, celles de Tina, ont refermé sans doute une bande souple au-dessus des doigts qui étiraient fort mon scrotum, assez serrée, et qui les a maintenues écartées de la base du sexe quand elle ma relâchée
puis sensation de froid sur lanus, poussée, étirement, pas très fort
elle vient de me mettre quelque chose entre les fesses, froid, sans doute métallique
pas trop gênant ni bien gros : depuis le temps quelles en parlent
elles passent à lacte ! Tina a relâché mes jambes, quAnnie a placées, pieds posés sur le matelas largement écartés, genoux pliés. Jai senti Tina bouger, se pencher, sappuyant des coudes sur mes genoux, des mains sur mes jambes
Annie bougeait, je sentais le matelas bouger à mon côté, les doigts crispés de Tina, un gémissement, un soupir
et elle sest redressée
dune main se tenant sur ma cuisse, lautre prenant mon sexe dans sa main ; elle ma branlé doucement, me faisant bander, et ma tenu immobile, dressé
sensation de froid métallique à nouveau, sur le gland, à lentré du méat
et Annie a dénoué le foulard qui masquait mes yeux
Etonnante vision
un flash, en une seconde
Tina au-dessus de moi, jambes ouvertes, une pièce métallique en acier brillant plantée entre ses fesses ouvertes, deux pinces fixées sur ses grandes lèvres, le tout relié par des fils
entre ses jambes, je vois ses seins lourds, là aussi des pinces sur ses tétons, reliées à des fils, et sa main qui tient mon sexe dressé, lautre tenant une tige métallique assez longue, juste au-dessus de mon sexe
et la brûlure, brusque, une secousse, piquante, au creux de mes reins et sur le scrotum et sur mon gland
et une, deux secondes plus tard, alors que je me demandais encore ce qui se passait, un brusque soubresaut de Tina, fesses contractées sous mes mains, un sursaut, ses seins qui tressautent, sa main qui lâche un temps la tige métallique quelle introduit dans ma verge
la tige qui glisse et descend doucement, plus profond, quelle reprend dans sa main aussitôt à deux doigts, la maintenant engagée
Jai tourné la tête ; Annie, debout au bord du lit, un boîtier noir dans les mains, comme une télécommande de jouet sur laquelle arrive tout un tas de fils. Annie, en guêpière noire qui mord sa taille, soulève ses petits seins sans les cacher
elle aussi, un fil entre ses jambes légèrement écartées disparaissant à lentrée de son sexe :
- Tout ce que vous ressentez, je le sens aussi
ne crains rien Alain
Tina
branle-le doucement
et plonge la tige plus profond
une autre décharge
et une autre
Je sens les jambes de Tina trembler très fort sous mes bras, les muscles de ses fesses très fort contractés sous mes doigts. Sous la dernière décharge, mes fesses ont décollées du matelas, mon sexe projeté au devant de la tige métallique, le gland venant buter sur les doigts de Tina
quinze centimètres de métal plantés dans mon sexe
la brûlure au creux de mes reins
à lintérieur de ma verge
mes couilles qui tressautent
encore une décharge
plus forte
Annie aussi a plié les genoux
Et puis dautres, moins fortes, mais régulières, cadencées, espacées de trois ou quatre secondes, nous laissant à peine le temps de reprendre notre respiration bloquée
et Tina qui me branle toujours, sa main crispée sur moi
et jai joui, violemment, mon sperme coulant autour de la tige et jaillissant quand Tina la retire, par saccades, très fortes, coïncidant avec les décharges électriques qui mordent autour des mes couilles sous le lien qui les attachent, au creux de mes reins, et Tina, penchée, accrochée dune main à une de mes cuisses, tout son sexe palpitant à chaque décharge, ses lèvres tremblantes sous la morsure des pinces, la pièce métallique entre ses fesses qui bouge par saccades, et son dos qui se creuse et sarrondit violemment, sa plainte rejoignant le râle dAnnie, tombée à genoux au pied du lit
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